Le directeur général a droit à la présomption d’innocence
Dans cette perspective, le directeur général de Rosemère détient ma confiance et celle du conseil municipal, jusqu’à preuve du contraire. Nous devons être très prudents dans ce dossier, nous ne pouvons présumer de rien. Ni dans un sens, ni dans l’autre.
Notre première préoccupation est de préserver l’intérêt des Rosemèroises et des Rosemèrois. Nous avons à Rosemère pour principe la tolérance zéro en matière d’intégrité et on s’assure du respect de notre code d’éthique à tous les niveaux.
Nous travaillons avec le directeur général depuis notre entrée en poste le 5 novembre dernier et je peux assurer la population rosemèroise que nous n’avons pas été témoins d’aucune irrégularité. Il n’y a rien qui porte à croire que le directeur général aurait enfreint son code de déontologie comme ingénieur dans l’exercice de ses fonctions ici à Rosemère. Chaque individu dans notre société a droit à la présomption d’innocence.
On suit l’évolution du dossier de jour en jour et on prendra les décisions qui seront appropriées dans la situation qui nous sera présentée. Nous devons maintenant attendre le dénouement du processus enclenché par l’ordre des ingénieurs du Québec».
- Eric Westram, maire